Grotte du diable rouge.
Comme promis les Aquaterrestres organisent une sortie pour des jeunes d’un lieu de vie basé sur ST Pastous « La ferme aux rocher ». Jeunes qui ce sont révélé adorables. Nous nous retrouvons donc à 10h15 à Bagnères de Bigorre pour visiter la grotte du Diable rouge.
J’agrémente le trajet en écoutant Noir Désir à quel bon groupe… Nous arrivons vers 11h30 aux points de départ. Pour une fois je ne me perds pas dans la marche d’approche, j’approche de la perfection car nous resterons sur la même courbe de niveau jusqu’à la cavité. Sauf pour Jordan qui cour après sont casque qui dévale les pentes de Banios tout en montrant ses fesses, aimerait il les ours bleu ?
Après une petite démonstration d’utilisation du matériel de progression vertical nous attaquons le repas de midi. Là aussi j’approche de la perfection, j’avale les boucher une après une, pendant que Jordan cherche sa mayonnaise.
Nous pénétrons sous terre et après la première désescalade nous découvrons la rivière. J’équipe le premier rappel de dix mètres malgré quelques appréhensions tout se passe bien. En bas les cigarettes s’allument pour décompenser. Là le paysage est splendide une belle chevelure tombe en cascade du vide, appelé la Bérénice, Maurice comme ils vous chantent. Des petites gouttes translucides rebondissent ça et là pour venir mourir sur nos combinaisons déjà humides d’émotions. Nos oreilles sont éveillées par les clapotis, les cascadelles qui murmurent des contes secrets d’elfes enchanteurs. Heureusement que je n’ai pas fumé car on pourrait en douté… Nous descendons le rappel de 6 sans difficulté puis nous passons la main courante bien négociée par tous les membres de l’équipe. Une petite pause est organisée ou les chanteurs s’égosillent au grand bonheur de tous, à l’exception des bonnes sœurs dont le répertoire diffère quelque peu.
Nous poussons jusqu’à l’éboulis final puis le groupe repart en sens inverse. La première remontée s’effectue par saccade. Le tâtonnement des jeunes s’explique par leur inexpérience. Qu’en à Aurore elle défit les lois du raisonnable, en guerre contre Hadès ou contre quelques démons elle remontera rageante sans torse à sa seule force des bras. Ses hurlements effrayeront toutes les forces du mal. Le lendemain un violent séisme surviendra au japon…Un tsunami balayera les continents. Ne riais pas ce n’est pas drôle, on n’a fait une bêtise ne pas provoquer le diable rouge.
La dernière remonté se passe mieux, plus fluide, plus régulière sauf une forte envie de faire pipi qui monte dans mon bas ventre. Prés à souffrir pour la bonne cause je me retiens, enfin je pense car personne ne serra quel sont les flots qui tomberons par enchantement sur la tête de Jordan et Florian qui avaient défié Aurore pendant son combat contre des forces obscures…
Nous ressortons, vivant malgré ces combats, le ciel rouge sang ne laisse rien présager de bon, Jordan cour toujours derrière son casque comme un rituel pour déjouer les sorts que nous avons jeté. Je démarre ma voiture des visages, des figures, les rose de l’Europe sont … Noir désir qui reprend décidément mon café avait un drôle de goût se matin.
En gros c’était cool merci au CDOS (conseil régional) et à l’aide du CNDS (jeunesse et sport) qui nous aide financièrement pour organiser des moments comme ça.
Personnes Présentes :
Jeunes : Florian, Nora, Dylan, Jordan, Charlène
Adultes : Aurore, Miguel
mercredi 9 mars 2011
mercredi 2 mars 2011
Bivouac a Sabart
Nous voilà après des heures de préparation dans le camion pour nous rendre à Tarascon sur Ariège. Quatre heures trente de route seront nécessaire pour arriver devant le départ du chemin ! Le véhicule est bridé à 97 km/h. Nous agrémentons le voyage en écoutant le formidable groupe » la rue K à nous » interprété par Aurore qui kife grave, moi aussi mais je suis muet comme une carpe… Oui les deux jours précédent on eu raison de mes cordes vocale seul quelques aigües peuvent encore sortir de ma bouche.
Nous voilà devant le départ après un ferrailleur sur la gauche. Nous partons lourdement chargé et plusieurs chemins s’offrent à nous… Je ne me rappelle pas du tout la direction à prendre, voilà plus de dix ans que je ne suis pas venu ici… Nous marcherons 60mn pour trouver l’entrée, rapidement nous somme dans l’ambiance. Rien ne sera facile, l’adaptabilité et de rigueur, tout doit se gagner dans la spéléologie, Il faut trouver l’entrée, le bivouac, préparer les fondamentaux de base… Les jeunes comme les adultes qui m’accompagne réagissent plutôt bien, les quelques excès de colère ne me sont pas dirigé. L’entrée est somptueuse même si en hiver la lumière ne met pas en valeur les différentes entrées de puits de lumière. Pour ne pas se trompéter, il faut prendre à gauche, l’entrée surplombe le ferrailleur (15mn de marche).
Nous laissons le repas de ce soir et partons tous chercher un endroit pour bivouaquer. Je ne sais pas ou nous pourrons dormir mais je compte sur le gigantisme de la grotte pour trouver un endroit approprié. Nous posons des balises pour ne pas s’égarer et j’essaye de me diriger vers la grande salle. Après des passages bas un peu pénibles nous tournons en rond vers la salle au sol plat. Par quatre fois nous reviendrons au même point en prenant des chemins différents ! Une crise de fou rire me prend car cela est tout de même très perturbant même si l’habitude du milieu me permet de garder ma lucidité. Même le jeune le plus téméraire commence à se poser des questions. Aurore décide donc d’une stratégie, Nico restera avec les jeunes pendant que nous partirons en exploration. J’accepte volontiers d’autant qu’elle n’a pas apprécié que je consulte le plan avec Nico sans demander sa participation…J’aurais peu être du y penser nous serions peu être déjà arrivée.
Rapidement en faisant équipe nous trouvons la suite vers les grandes salles. Nous découvrons aussi les restes d’un bivouac sympathique mais venteux.
Pour me justifier de ma mauvaise orientation je citerais Jolfre :
« Cette grotte de Sabart est le règne du gigantisme, au point qu’il est bien malin-ou bien chanceux- celui qui ne s’égare pas dans ce labyrinthe de salles et de galeries. Norbert Casteret, lui-même, m’avoua que durant une heure ou deux, il avait tourné en rond au milieu des diverticules pour trouver la sortie. »
En tout cas nous avons bien rit. Le bivouac est vraiment bien sauf la température faible due au vent, je dirais entre 6 et 8 degrés alors que cela devrait tourner dans les 12°. Je pousserais bien notre investigation plus loin mais nous somme fatigué et le temps presse. Alors un peu à regret je décide de rester là. Le camp se monte vite. Sans devoir rien dire tout les jeunes font se qu’ils ont à faire, autonome et en groupe ils travaillent ensemble au camp de base. Après nous nous racontons des histoires drôles pour nous rassurer « l’histoire de l’ours bleu qui aime Didier… »
Nous ressortons pour manger dans un cadre majestueux, pendant que nous préparons le repas les jeunes s’amusent à tarzan sur les cordes de grimpeur. Le moment est convivial, chaleureux n’étant pas le mot approprié à la température. Nous faisons découvrir le camembert braiser aux jeunes, nous plaisantons et nous nous brulons les doigts… De retour au bivouac nous prolongeons la soirée devant un café bien chaud qui ne me réchauffera pas les pieds. Nico essayera avec son thermos spécial urgence mais sans succès. Ensuite chacun rejoindra son duvet avec bonheur pour certain. Malgré de nombreuse couche le froid me gèle le nez et les pieds. La nuit sera longue et courte à vous de voir. Quelque anecdote de la nuit, Nico qui se couche entre le duvet et la doublure histoire de tester sa résistance au froid, Mathieu qui se lève en teeshirt se plaignant de la chaleur.
Après un petit déjeuné bien mérité nous partons visiter la grande salle cylindrique ou là le bivouac aurait été idéal, plus humide mais sans vent. Nous n’aurons pas le temps d’explorer la grande salle aux colonnes.
Le retour sera dur beaucoup dormirons sur le trajet, la musique tournera en boucle mais n’éveillera pas nos sens endormis… Je suis muet mais heureux de cette expérience inoubliable avec les jeunes même si je ne développerai pas ici tout le bénéfice de ces moments partagés.
Personnes présentes :
Adultes : Aurore, Nico et Miguel.
Jeunes : Morgan, Mathieu, Didier, Rémy, Julia, Alexandra.
TPST : 20 h
Nous voilà devant le départ après un ferrailleur sur la gauche. Nous partons lourdement chargé et plusieurs chemins s’offrent à nous… Je ne me rappelle pas du tout la direction à prendre, voilà plus de dix ans que je ne suis pas venu ici… Nous marcherons 60mn pour trouver l’entrée, rapidement nous somme dans l’ambiance. Rien ne sera facile, l’adaptabilité et de rigueur, tout doit se gagner dans la spéléologie, Il faut trouver l’entrée, le bivouac, préparer les fondamentaux de base… Les jeunes comme les adultes qui m’accompagne réagissent plutôt bien, les quelques excès de colère ne me sont pas dirigé. L’entrée est somptueuse même si en hiver la lumière ne met pas en valeur les différentes entrées de puits de lumière. Pour ne pas se trompéter, il faut prendre à gauche, l’entrée surplombe le ferrailleur (15mn de marche).
Nous laissons le repas de ce soir et partons tous chercher un endroit pour bivouaquer. Je ne sais pas ou nous pourrons dormir mais je compte sur le gigantisme de la grotte pour trouver un endroit approprié. Nous posons des balises pour ne pas s’égarer et j’essaye de me diriger vers la grande salle. Après des passages bas un peu pénibles nous tournons en rond vers la salle au sol plat. Par quatre fois nous reviendrons au même point en prenant des chemins différents ! Une crise de fou rire me prend car cela est tout de même très perturbant même si l’habitude du milieu me permet de garder ma lucidité. Même le jeune le plus téméraire commence à se poser des questions. Aurore décide donc d’une stratégie, Nico restera avec les jeunes pendant que nous partirons en exploration. J’accepte volontiers d’autant qu’elle n’a pas apprécié que je consulte le plan avec Nico sans demander sa participation…J’aurais peu être du y penser nous serions peu être déjà arrivée.
Rapidement en faisant équipe nous trouvons la suite vers les grandes salles. Nous découvrons aussi les restes d’un bivouac sympathique mais venteux.
Pour me justifier de ma mauvaise orientation je citerais Jolfre :
« Cette grotte de Sabart est le règne du gigantisme, au point qu’il est bien malin-ou bien chanceux- celui qui ne s’égare pas dans ce labyrinthe de salles et de galeries. Norbert Casteret, lui-même, m’avoua que durant une heure ou deux, il avait tourné en rond au milieu des diverticules pour trouver la sortie. »
En tout cas nous avons bien rit. Le bivouac est vraiment bien sauf la température faible due au vent, je dirais entre 6 et 8 degrés alors que cela devrait tourner dans les 12°. Je pousserais bien notre investigation plus loin mais nous somme fatigué et le temps presse. Alors un peu à regret je décide de rester là. Le camp se monte vite. Sans devoir rien dire tout les jeunes font se qu’ils ont à faire, autonome et en groupe ils travaillent ensemble au camp de base. Après nous nous racontons des histoires drôles pour nous rassurer « l’histoire de l’ours bleu qui aime Didier… »
Nous ressortons pour manger dans un cadre majestueux, pendant que nous préparons le repas les jeunes s’amusent à tarzan sur les cordes de grimpeur. Le moment est convivial, chaleureux n’étant pas le mot approprié à la température. Nous faisons découvrir le camembert braiser aux jeunes, nous plaisantons et nous nous brulons les doigts… De retour au bivouac nous prolongeons la soirée devant un café bien chaud qui ne me réchauffera pas les pieds. Nico essayera avec son thermos spécial urgence mais sans succès. Ensuite chacun rejoindra son duvet avec bonheur pour certain. Malgré de nombreuse couche le froid me gèle le nez et les pieds. La nuit sera longue et courte à vous de voir. Quelque anecdote de la nuit, Nico qui se couche entre le duvet et la doublure histoire de tester sa résistance au froid, Mathieu qui se lève en teeshirt se plaignant de la chaleur.
Après un petit déjeuné bien mérité nous partons visiter la grande salle cylindrique ou là le bivouac aurait été idéal, plus humide mais sans vent. Nous n’aurons pas le temps d’explorer la grande salle aux colonnes.
Le retour sera dur beaucoup dormirons sur le trajet, la musique tournera en boucle mais n’éveillera pas nos sens endormis… Je suis muet mais heureux de cette expérience inoubliable avec les jeunes même si je ne développerai pas ici tout le bénéfice de ces moments partagés.
Personnes présentes :
Adultes : Aurore, Nico et Miguel.
Jeunes : Morgan, Mathieu, Didier, Rémy, Julia, Alexandra.
TPST : 20 h
mercredi 23 février 2011
Lavage et préparation du Bivouac.
Aprés les sorties ludiques il faut bien accomplir la tâche ingrate du lavage du matèriel. Tous ont bien participé et dans la bonne humeur!
Adultes: Aurore, Nico et Miguel
Jeunes : Mathieu, Jean Batiste, Rémy,Alexandra, Julia, Didier
Adultes: Aurore, Nico et Miguel
Jeunes : Mathieu, Jean Batiste, Rémy,Alexandra, Julia, Didier
mercredi 16 février 2011
Grotte du Chêne
Nous somme devant l' entrée et rapidement je me rend compte du niveau imporatant de l'eau. Il n'y a pas de risque car il fait beau mais le niveau de la nappe et à moins d'un métre du niveau de la grotte. Ce serra l'occasion de leur expliquer les phénomènes de crue. D'observer les signes de mise en charge et d'évoluer dans un milieu hostile et impressionant.On verra des galerie noyer alors qu'elle sont ordinairement exonder. Nous n'irons qu'à quelques mètres de l'entrée pour na pas s'exposer. Le bruit de l'eau est impressionant, la grotte lugubre... Nous ressortiront nous chauffer au soleil.
J'ai oublié l'appareil photo, désolé...
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Jean batiste,Rémy, Didier, Alexandra.
J'ai oublié l'appareil photo, désolé...
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Jean batiste,Rémy, Didier, Alexandra.
mercredi 9 février 2011
Entrainement Falaise.
Sortie initiation en falaise au Castéra à St Pé de Bigorre. Les jeunes apprennent a mettre leur baudrier. Ils découvrent la descente avec corde simple avec et sans déviation. Ils Progressent sur main courante pour manipuler leurs longes. Journée sympa au soleil.
Adultes:Aurore,Miguel,Nico
Jeunes: Didier, Rémy, Julia, Alexandra, Jean Batiste,Mathieu
Adultes:Aurore,Miguel,Nico
Jeunes: Didier, Rémy, Julia, Alexandra, Jean Batiste,Mathieu
dimanche 6 février 2011
La Borne 109 ( la salle Blanche )
C'est un peu la reprise de l'école de spéléo en ce début d'année 2011. C'est aussi un tournant de l'école de spéléo. Depuis 2 ans, nous avions des très jeunes ( 6-7 ans ), et donc étions obligés de proposer des sorties dans des grottes d'initiations, sans grande difficulté technique, ce qui pouvait limiter la participation de plus grands, qui aurait voulu faire de la spéléo un peu plus sportive. Et bien, c'est pour cette année, avec une limitation d'âge ( à partir de 12 ans ) pour les prochaines sorties proposées. Et c'est Kevin qui en a fait les frais pour cette première sortie bien sportive.
Au final, après quelques desistements, nous nous retrouvons à 3 cadres ( Miguel, Jean Luc L, et moi même ) pour emmener une seule personne ( Kevin ). Situation très confort. Rendez vous le matin à 10h à Lourdes pour les cadres, histoire d'aller équiper le trou, c'est Miguel qui s'y colle car il a une envie folle de visser de la plaquette, ça fait si longtemps ! Jean Luc et moi suivons jusqu'au début du passage étroit du kamasutra.
Nous remontons pour picniquer au soleil, une vraie journée de printemps. Puis descente à Saint Pé pour recuperer Kevin à 14h. Un petit coucou en passant à JC, le Tachous du coin, qui est venu nous saluer.
On remonte s'équiper au parking... Petite demonstration de la mise en place du descendeur spéléo et quelques conseils, et plouf, on plonge dans le trou. On enchaine 3 puits d'une dizaine de mètres, puis une main courante plein gaz pour passer au dessus d'un puits, et on arrive aux ressauts finaux ( 5 et 6m) qui nous amène à la partie étroite de la cavité.
Nous passons une première serie, Jean Luc s'etonne d'être passé sans problèmes, mais nous arrivons à l'étroiture sévére du kamasutra, verticale et en coude, comme on les aime. Le poids plume de l'équipe s'engouffre ( non pas moi, mais Miguel ), ensuite je m'y colle, ça coince un peu, mais ça passe. Vient ensuite la sequence émotion pour Kevin, il faut vraiment ressentir au moins une fois cela dans sa vie, se sentir completemement coincé. Mais kevin a du mental, et tout doucement, il accepte de se laisser aspirer par le petit trou, mais c'est juste !
Et maintenant, on passe à un autre calibre, plus grand, plus costaud, ça ouigne, ça coince, et finalement ça ne passe pas, on a trouvé la limite pour cette étroiture. On laisse donc notre camarade derrière nous, le temps d'aller faire un petit coucou à la salle blanche. Mais le kamasutra nous reserve une dernière surprise... Imaginez vous, une petite étroiture horizontale très ponctuelle, où juste le corps passe sans un seul centimètre de rabe, et juste à ce niveau, une belle petite flaque d'eau, juste assez pour nous tremper avant l'arrivée dans la salle, on adore ça !!!
Heureusement que Miguel connait le cheminement dans cette grande salle descendante, car j'y suis venu plusieurs fois, sans trouver cette fameuse salle blanche. En gros , on descend tout en bas, et on vire à gauche, et là c'est le spectable merveilleux de la salle blanche, c'est magnifique, des concrétions d'un blanc éclatant, des excentriques de partout, ça vaut vraiment le détour !
Nous ne tardons pas à remonter, histoire de ne pas laisser Jean Luc seul trop longtemp. Je repasse l'étroiture de la flaque en 3ème position. position stratégique, car la flaque s'est vidée dans les combis de mes camarades. Puis vient le passage de l'étroiture selective. Autant ce genre d'étroiture verticale, passe pas trop mal à la descente, mais à la remontée, c'est un peu plus galère, il faut être patient, et ne pas s'enerver, et ça fini par passer !
Nous retrouvons Jean Luc, et entamons la remontée et le déséquipement. Première remontée sur corde pour Kevin, qui comprend vite le truc, et nous sortons du gouffre sous un ciel étoilé, il est 19h.
Première sortie spéléo classique pour Kevin, qui s'est debrouillé comme un chef, ce qui promet de belles futures sorties.
Merci à Miguel et Jean Luc L. pour leur participation.
FiFyE
Les photos:
Au final, après quelques desistements, nous nous retrouvons à 3 cadres ( Miguel, Jean Luc L, et moi même ) pour emmener une seule personne ( Kevin ). Situation très confort. Rendez vous le matin à 10h à Lourdes pour les cadres, histoire d'aller équiper le trou, c'est Miguel qui s'y colle car il a une envie folle de visser de la plaquette, ça fait si longtemps ! Jean Luc et moi suivons jusqu'au début du passage étroit du kamasutra.
Nous remontons pour picniquer au soleil, une vraie journée de printemps. Puis descente à Saint Pé pour recuperer Kevin à 14h. Un petit coucou en passant à JC, le Tachous du coin, qui est venu nous saluer.
On remonte s'équiper au parking... Petite demonstration de la mise en place du descendeur spéléo et quelques conseils, et plouf, on plonge dans le trou. On enchaine 3 puits d'une dizaine de mètres, puis une main courante plein gaz pour passer au dessus d'un puits, et on arrive aux ressauts finaux ( 5 et 6m) qui nous amène à la partie étroite de la cavité.
Nous passons une première serie, Jean Luc s'etonne d'être passé sans problèmes, mais nous arrivons à l'étroiture sévére du kamasutra, verticale et en coude, comme on les aime. Le poids plume de l'équipe s'engouffre ( non pas moi, mais Miguel ), ensuite je m'y colle, ça coince un peu, mais ça passe. Vient ensuite la sequence émotion pour Kevin, il faut vraiment ressentir au moins une fois cela dans sa vie, se sentir completemement coincé. Mais kevin a du mental, et tout doucement, il accepte de se laisser aspirer par le petit trou, mais c'est juste !
Et maintenant, on passe à un autre calibre, plus grand, plus costaud, ça ouigne, ça coince, et finalement ça ne passe pas, on a trouvé la limite pour cette étroiture. On laisse donc notre camarade derrière nous, le temps d'aller faire un petit coucou à la salle blanche. Mais le kamasutra nous reserve une dernière surprise... Imaginez vous, une petite étroiture horizontale très ponctuelle, où juste le corps passe sans un seul centimètre de rabe, et juste à ce niveau, une belle petite flaque d'eau, juste assez pour nous tremper avant l'arrivée dans la salle, on adore ça !!!
Heureusement que Miguel connait le cheminement dans cette grande salle descendante, car j'y suis venu plusieurs fois, sans trouver cette fameuse salle blanche. En gros , on descend tout en bas, et on vire à gauche, et là c'est le spectable merveilleux de la salle blanche, c'est magnifique, des concrétions d'un blanc éclatant, des excentriques de partout, ça vaut vraiment le détour !
Nous ne tardons pas à remonter, histoire de ne pas laisser Jean Luc seul trop longtemp. Je repasse l'étroiture de la flaque en 3ème position. position stratégique, car la flaque s'est vidée dans les combis de mes camarades. Puis vient le passage de l'étroiture selective. Autant ce genre d'étroiture verticale, passe pas trop mal à la descente, mais à la remontée, c'est un peu plus galère, il faut être patient, et ne pas s'enerver, et ça fini par passer !
Nous retrouvons Jean Luc, et entamons la remontée et le déséquipement. Première remontée sur corde pour Kevin, qui comprend vite le truc, et nous sortons du gouffre sous un ciel étoilé, il est 19h.
Première sortie spéléo classique pour Kevin, qui s'est debrouillé comme un chef, ce qui promet de belles futures sorties.
Merci à Miguel et Jean Luc L. pour leur participation.
FiFyE
Les photos:
mercredi 2 février 2011
Grotte de la Houna
Belle sortie dans la grotte ou nous nous baladerons jusqu'au siphon de sable dans la partie la plus inferieure. Très peu de monde sont venu jusqu'ici, un remontant est à revoir. Les traces de mise en charge montre qu'il ne faut pas venir ici par temps incertain.
Adultes: Nico et Miguel
Jeunes: Jean batiste, Mathieu, Rémy, Alexandra, Julia
Adultes: Nico et Miguel
Jeunes: Jean batiste, Mathieu, Rémy, Alexandra, Julia
jeudi 20 janvier 2011
Traversée Odon - Henne morte ( Coume Ouarnède - 31 )
Petite session sur le massif de la Coume. La première équipe ( ToT, Isadora, Fanny, Simon ) ont équipé la Henne Morte. Nico B. et moi les rejoingnons pour faire la traversée par le gouffre Odon. Arrivé à la salle du camp, Fanny, Nico et moi, déséquipons le Henne Morte et l'équipe du ToT, Simon et Isadora font le retour par Odon. Très belle traversée par le réseau Laregola !
Les photos:
Les photos:
mercredi 19 janvier 2011
Grotte du Bédat
Petit tour dans la grotte du Bédat, nous rentrons par l'entrée centrale pour se diriger vers le réseau inférieur. L'argile est souvent coloré d'ocres qui donnent un aspect multicolore à l'ensemble, cela nous calme du transport agité...La cavité est labyrinthique, il faut prendre soin de ne pas se perdre. Pour cela nous plaçons des cairns (tas de cailloux) à chaque bifurcations. Nous nous arrêterons devant un toboggan que j'équiperais pour voir la suite... Après une boucle nous prenons le repas a proximité de l' entrée supérieure avant de ressortir.
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Julia, Rémy, Didier,Christopher
Rapport de Didier:
Le Mercredi 19 janvier nous somme aller en spéléo à Bagnères de Bigorre est on a vu une pierre c était une géode , Nous somme passer dans des trous étroit et argileux .nous avons pique niquer sous terre et puis nous nous sommes changer et rentre a l’itep et puis cetai tre bien chaque mercredi nous allons en spéléo.
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Julia, Rémy, Didier,Christopher
Rapport de Didier:
Le Mercredi 19 janvier nous somme aller en spéléo à Bagnères de Bigorre est on a vu une pierre c était une géode , Nous somme passer dans des trous étroit et argileux .nous avons pique niquer sous terre et puis nous nous sommes changer et rentre a l’itep et puis cetai tre bien chaque mercredi nous allons en spéléo.
mercredi 5 janvier 2011
grotte des Coumattes
Aujourd'hui nous sortons à la grotte des coumattes, deux nouveaux jeunes nous accompagnent. Ils n'ont jamais fait cette activité, la cavité si prête bien. En effet elle et courte, facile se qui permet aussi pour moi de gérer le timing. Le groupe et conséquent nous sommes 9 personnes et cela engendre automatiquement de l'inertie. Nous n'iront pas jusqu'au fond mais finalement cela a plu à presque tout le monde, cela est l'essentiel non?
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Christopher, Mathieu, Jean Batiste, Alexandra, Julia, Didier, Rémy.
Adultes: Nico, Miguel
Jeunes: Christopher, Mathieu, Jean Batiste, Alexandra, Julia, Didier, Rémy.
Grotte des Coumates
Mercredi 5 janvier 2011
Groupe speleo
Educateurs : MICHEL BOF
NICOLAS SERRA
Jeunes :Jean-Baptiste
Mathieu
Julia
Alexandra
Didier
Christopher
Remy
Rapport de Julia:
Nous arrivons à St Pé, marchons 20 minutes, passons pleins de côtes avant d’arriver à l’entrée de la grotte.
Michel rentre en premier pour nous guider ou aider certains jeunes en difficulté car la veille, il avait plu donc à certains endroits, le chemin glissait bien. On passe un par un en faisant attention de ne pas glisser puis Nicolas passe en dernier pour fermer le groupe.
On descend jusqu’aux boyaux de la grotte, et on fait attention où mettre nos pied car c’est très étroit, on doit trouver de bons appuis et à certains endroits, on est en rappel. C’est quand même assez impressionnant. Puis on arrive à une petite échelle et on la descend un par un avec Michel devant et Nicolas à la fin du groupe.
Ensuite, on marche le long de la grotte où on croise trois chauve-souris.
Puis on fait demi-tour pour s’arrêter pour manger ou plutôt pique niquer.
Puis on sort de la grotte, on monte dans le bus et on rentre.
Ce fut une très bonne matinée dans cette grotte.
Groupe speleo
Educateurs : MICHEL BOF
NICOLAS SERRA
Jeunes :Jean-Baptiste
Mathieu
Julia
Alexandra
Didier
Christopher
Remy
Rapport de Julia:
Nous arrivons à St Pé, marchons 20 minutes, passons pleins de côtes avant d’arriver à l’entrée de la grotte.
Michel rentre en premier pour nous guider ou aider certains jeunes en difficulté car la veille, il avait plu donc à certains endroits, le chemin glissait bien. On passe un par un en faisant attention de ne pas glisser puis Nicolas passe en dernier pour fermer le groupe.
On descend jusqu’aux boyaux de la grotte, et on fait attention où mettre nos pied car c’est très étroit, on doit trouver de bons appuis et à certains endroits, on est en rappel. C’est quand même assez impressionnant. Puis on arrive à une petite échelle et on la descend un par un avec Michel devant et Nicolas à la fin du groupe.
Ensuite, on marche le long de la grotte où on croise trois chauve-souris.
Puis on fait demi-tour pour s’arrêter pour manger ou plutôt pique niquer.
Puis on sort de la grotte, on monte dans le bus et on rentre.
Ce fut une très bonne matinée dans cette grotte.
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